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Parmi les sujets nombreux et divers que Islamic scriptures abordent, certains concernent des sujets qui ont un lien direct ou indirect avec la science.
On compte au nombre de ces sujets les sciences de la reproduction, l’embryologie, la cosmologie, la médecine et un éventail d’autres points. Si le commun des chercheurs académiques et scientifiques n’a pas de commentaires particuliers sur la discussion de ces sujets dans le contexte des écrits islamiques du 7ème siècle, de nombreux savants et figures de l’Islam soutiennent que les textes islamiques contiennent des affirmations qui non seulement sont conformes à la science moderne mais aussi la prédisent. La critique de ces idées est répandue, venant parfois même de certains savants musulmans.
Implications philosophiques du concept de miracles
De nombreux croyants sont convaincus que le Coran contient une anticipation miraculous des connaissances de la science moderne. Des considerations philosophiques sont souvent avancées par ceux qui prennent ces idées au sérieux comme par ceux qui se posent la question de savoir s’il faut les prendre au sérieux.
- L’idée que les humains auraient accès à une manifestation miraculeuse de leur ou leurs dieux aurait des conséquences majeures et serait d’un grand intérêt si elle était avérée; ainsi il convient de l’examiner avec les plus grands sérieux et minutie. A défaut, tout contradicteur pourrait arguer que ses propres textes contiennent des miracles scientifiques.
- Un ou des dieux souhaitant offrir à l’Humanité un miracle de prédiction scientifique devra répondre à ce nécessaire examen par un miracle d’une nature si claire et si probante qu’il puisse ainsi se distinguer d’affirmation mensongères de miracle. A défaut de quoi la divinité en question échouerait dans sa tâche, ce qui est un présupposé impossible. En fait il faudrait qu’il fût « impossible de trouver une raison de nier » un tel miracle ; ce qui serait un signe d’absolue certitude.
- Une affirmation dans les Ecritures contiendrait de toute évidence un miracle scientifique si on y distingue simultanément un caractère : (1) non ambigu et intentionnel (2) impossible à connaître au moment de sa révélation et (3) valide scientifiquement car :
- (1) Une affirmation scientifique ambigüe ou non intentionnelle pourrait être correcte par hasard
- (2) Une affirmation scientifique à la portée de la connaissance du leu et temps de la révélation ne serait pas un miracle.
- En outre, il se peut qu’aucuns des critères sus-décrits ne puissent être appliqués à une affirmation scientifique dans la mesure où : (1) le langage est par nature ambigu, (2) il est impossible de prouver qu’un élément n’est pas du au hasard, et (3) l’histoire est fondamentalement inaccessible. Cependant, certains peuvent ( et le font) ignorer la mesure de scepticisme que ce dernier point devrait apporter à leur analyse.
Les écrits islamiques contiennent et recommandent diverses pratiques médicales communes à l’Arabie du temps de Muhammad et de ses companions au 7ème siècle ou peut-être nouvellement introduites. Elles utilisent, de diverses façons : l’urine de chameau, un mélande de salive et de poussière, la pilosité et les fluides corporels de Muhammad , l’encens indien, le détournement du regard vis-à-vis des femmes, la prière, les ailes de mouche, les ventouses et les graines de Nigelle.
L’urine de chameau comme remède
Mahomet a prescript l’urine de chameau comme remède. .
Plonger des mouches dans une boisson
Mahomet a conseillé à celui qui verrait une mouche se poser dans sa boisson, de l’y immerger puis de consommer la boisson.
Indépendamment du manque d’hygiène de cette pratique, les savants musulmans affirment son efficacité en s’appuyant sur la présence de bactériophages sur les ailes de mouches. Ils affrontent les contre-arguments scientifiques suivants : (1) la présence des bactériophages ne se limite pas à une aile spécifique, (2) à leur état et concentration naturels les bactériophages ne constituent pas un antidote aux infections bactériennes, en particulier s’ils sont tempérés ou lysogéniques, (3) les bactériophages sont inefficaces contre les maladies non bactériennes et (4) à l’heure actuelle une thérapie par les phages n’est pas généralement accepté du fait qu’elle requerrait des quantités importantes de phages purifiées et de préférence modifiés génétiquement, inexistantes dans des conditions naturelles.
Jeûne islamique et santé
Le jeûne medical diffère du Islamic fasting (Sawm). Les études scientifiques montrent que le jeûne islamique, à l’inverse du jeûne médical, présente de nombreux effets néfastes : il est intermittent, prolongé, sans apport hydrique et se combine avec des agapes nocturnes nuisibles. L’ensemble de ces facteurs dégrade le métabolisme, modifie l’humeur et diminue les performances.
L’eau de Zamzam et la santé
Chaque année des millions de musulmans effectuant les pèlerinages du Hajj ou de la Umrah visitent le Puits de Zamzam. Ils boivent son eau et, très souvent, en rapportent chez eux pour la distribuer à leurs amis et connaissances, du fait de ses propriétés qu’ils pensent miraculeuses. En mai 2011, une enquête de la BBC à mis en lumière une teneur en arsenic de l’eau authentique tirée du puits de Zamzam 3 fois supérieure à la limite légale, ce qui pourrait augmenter le risque de cancer. Si le niveau d’arsenic est dangereux, celui de nitrates est également élevé et l’eau sacrée contient également des bactéries potentiellement nocives.
La biologie islamique
L’embryologie islamique
L’embryologie islamique prend sa source dans le Coran et les Hadiths, avec une description consistante à travers ces écritures. Le verset 5 de la Sourate 22 en résume la théorie. Bien qu’il existe d’autres versets sur ce sujet dans le Coran, aucun ne présente de divergence significative avec la ligne énoncée en 22:5 . Les Hadiths recueillis par Bukhari et Muslim fournissent de nombreux détails qui, là encore, restent consistants avec le narratif développé en 22 :5 .
Les details de l’embryologie telle que le Coran et les Hadiths le résument se résume ainsi : l’embryon passe 40 jours sous la forme d’une goutte de sperme ou d’une graine, puis encore 40 jours sous la forme d’un « caillot » ou d’un « caillot en forme de sangsue » , puis encore une période de 40 jours comme un « morceau de chair » pendant laquelle le sexe de l’enfant est attribué par un ange guidé par Allah.
Théorie Coranique de la production du sperme
Le Coran 86:7 prétend que le sperme trouve son origine dans la colonne vertébrale et les côtes, une théorie semblable à celle, erronée, proposée par Hippocrates au 5ème siècle avant JC
Plusieurs savants musulmans de notre temps ont declaré que la théorie coranique de la production de sperme était un cas miraculeux de prédiction scientifique, ce qui a donné lieu à de nombreuses critiques.
Sources des theories islamiques de la reproduction
Les hadiths contiennent plusieurs affirmations sur les fluides masculins et féminins sensés être à l’origine de la formation des embryons. Dans le Coran on trouve également que l’embryon est formé du fluide émis et peut-être dans un verset du mélange des fluides masculins et féminins. L’origine de ces idées remonte aussi loin qu’’au Talmud juif et aux médecins des Grecs de l’antiquité. A la lumière des connaissances scientifiques modernes aucune de ces théories historiques n’est avérée. Cependant l’influence de ces idées et savants issus des cultures antiques sur les théories présentées dans le Coran sont évidentes.
Cousin marriage in Islam
Le verset 23 de la sourate 4 (Quran 4:23) autorise de façon explicite le mariage entre cousins Mahomet a lui-même adopté cette pratique. Zaynab bint Jahsh, une des épouses de Mahomet, était la fille de la sœur de son père ainsi que l’ex épouse du fils adoptif de Mahomet Zayd ibn Haritha. Mahomet a aussi autorisé le mariage de sa fille, Fatima, à son cousin Ali ibn Abi Talib, qui deviendra plus tard le 4ème Rightly-guided Caliph. Le second Calife Umar ibn al-Khattab, épousa également sa cousine Atikah bint Zayd ibn Amr ibn Nufayl.
Les cultures contemporaines découragent fortement le mariage entre cousins en raison de taux de consanguinité supérieurs à la normale entre des parents proches qui accroissent la probabilité de partage de gènes pour des caractères récessifs ou des défauts congénitaux. Le Britannique Steve Jones, généticien et professeur, lors de la Conférence John Maddox de 2011 au Hay Festival, affirma au sujet des unions entre musulmans : « Il est courant dans le monde de l’Islam d’épouser la fille de son frère , qui de fait est encore plus proche que d’épouser sa cousine. » Une estimation statistique tragique montre que près de la moitié de tous les musulmans vivants actuellement descend de mariages entre cousins et sont, selon les standards de la science, consanguins.
La Cosmologie de l’Islam
Adam, Eve et la Création
Le Coran suit dans les grandes lignes la recension biblique de la création en 6 jours (Genèse 1 :31), bien que la sourate 41 :9-12 semble indiquer que la Terre (et l’Univers) auraient été créé en 8 jours plutôt que 6, bien que ce chiffre n’apparaisse jamais. La tradition s’accorde globalement avec d’autres éléments de la recension biblique, tels que la création d’Eve, la première femme, à partir de la côte d’Adam, le premier homme ; Le Coran, cependant, élargit l’affirmation biblique de la création d’Adam à partir de la poussière (Genèse 2 :1) avec un passage où il est crée à partir de la poussière et un autre à partir de l’argile. Dans son histoire du monde, Tabari attribue à l’univers un âge compris entre 6 et 7 mille ans, chiffre cohérent avec la chronologie biblique (mais bien sur fort éloigné de l’hsitoire de l’univers que nous savons maintenant être âgé d’au moins 13 milliards d’années)
Parmi les détails notables de cette narration (citée de Bukhari) on trouve la description de la femme créée d’une côte tordue qui se brisera si l’on essaye de la redresser, l’idée étant que « n’eut existé Eve, aucune femme n’aurait jamais trahi son mari », et aussi le fait qu’Adam mesurait « 60 cubits » (env. 30 mètres) et que depuis cette époque « la stature des humains a décru »
Cosmologie du Coran
La cosmologie du Coran calque essentiellement celle qui était acceptée au 7ème siècle en Arabie et dans le monde contemporain. La Terre est le centre de l’univers, est en forme de disque, le soleil est en orbite autour (et se lève et couche au travers de trous sur la surface terrestre), assis au sommet de 7 terres similaire en forme de disque, repose sous les 7 dômes célestes des cieux qui, si Dieu le souhaitait, pour tomber du ciel. L’univers entier s’étend sous le trône d’Allah , flotte au milieu d’une mer infinie et tout ceci existe sur le dos d’une baleine cosmique géante connue comme Islamic Whale (al-Hut al-Islami).
Géocentrisme et Coran
Le Coran affirme que le soleil et la Lune nagent ou flottent en une course arrondie , ou peut être dans une sphere ou demi-sphère céleste en Arabe Cite error: Closing </ref>
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Miracles scientifiques du Coran
Cet article offre une vue globale des prétendus miracles scientifiques contenus dans le Coran.
Voir aussi
Articles
Liens externes
- Qur'an and Science - Answering Islam
- The Scientific 100 - 3 different rankings from Adherents.com showing how little Muslims contributed to science