Coran, hadith et savants : Les Banu Qurayza: Difference between revisions

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<br>Il a été rapporté sous l'autorité d'Aicha qui a dit : Sa’d a été blessé le jour de la bataille du Fossé. Un homme des Quraych appelé Ibn al-Araqah lui a tiré une flèche qui a transpercé l’artère au milieu de son avant-bras. Le Messager d’Allah (ﷺ) lui dressa une tente dans la mosquée et s’enquerra auprès de lui étant à proximité. Quand il est revenu du Fossé et a déposé ses armes et pris un bain, l’ange Gabriel lui est apparu et il enlevait la poussière de ses cheveux (comme s’il venait de rentrer de la bataille). Ce dernier a dit : "Tu as déposé les armes. Par Dieu, nous ne les avons pas (encore) déposées. Alors marche contre eux." Le Messager d’Allah (ﷺ) a demandé : "Vers où ?" Il a pointé vers les Banu Qurayza. Le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) les a alors combattus. Ils se sont rendus sur ordre du Messager d’Allah (ﷺ), mais il renvoya la décision à leur sujet à Sa’d qui dit : "Je décide que ceux d’entre eux qui peuvent se battre soient tués, leurs femmes et leurs enfants faits prisonniers et leurs biens distribués (parmi les musulmans)."</br>}}{{Quote|{{bukhari|5|59|444}}|<i>Rapporté par Anas : C’est comme si je regardais en ce moment la poussière qui brille se soulever dans la rue des Banu Ghanm (à Médine) à cause de la marche du régiment de Gabriel lorsque le Messager d’Allah (ﷺ) est parti vers les Banu Qurayza (pour les attaquer).</i>
<br>Il a été rapporté sous l'autorité d'Aicha qui a dit : Sa’d a été blessé le jour de la bataille du Fossé. Un homme des Quraych appelé Ibn al-Araqah lui a tiré une flèche qui a transpercé l’artère au milieu de son avant-bras. Le Messager d’Allah (ﷺ) lui dressa une tente dans la mosquée et s’enquerra auprès de lui étant à proximité. Quand il est revenu du Fossé et a déposé ses armes et pris un bain, l’ange Gabriel lui est apparu et il enlevait la poussière de ses cheveux (comme s’il venait de rentrer de la bataille). Ce dernier a dit : "Tu as déposé les armes. Par Dieu, nous ne les avons pas (encore) déposées. Alors marche contre eux." Le Messager d’Allah (ﷺ) a demandé : "Vers où ?" Il a pointé vers les Banu Qurayza. Le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) les a alors combattus. Ils se sont rendus sur ordre du Messager d’Allah (ﷺ), mais il renvoya la décision à leur sujet à Sa’d qui dit : "Je décide que ceux d’entre eux qui peuvent se battre soient tués, leurs femmes et leurs enfants faits prisonniers et leurs biens distribués (parmi les musulmans)."</br>}}{{Quote|{{bukhari|5|59|444}}|<i>Rapporté par Anas : C’est comme si je regardais en ce moment la poussière qui brille se soulever dans la rue des Banu Ghanm (à Médine) à cause de la marche du régiment de Gabriel lorsque le Messager d’Allah (ﷺ) est parti vers les Banu Qurayza (pour les attaquer).</i>
}}{{Quote|{{bukhari|2|14|68}}|<i>Rapporté par Anas ibn Malik : Le Messager d’Allah (ﷺ) a fait la prière de fajr pendant qu’il faisait encore nuit, puis il est monté à cheval et a dit, "Allah Akbar ! Khaybar est en ruine. Lorsque nous nous approchons d’une nation, le plus malheureux est le matin de ceux qui ont été avertis." Les gens sont sortis dans les rues en disant : "Muhammad et son armée." Le Messager d’Allah (ﷺ) les a vaincus par la force et leurs guerriers ont été tués ; les enfants et les femmes ont été emmenés comme captifs. Safiya a été prise par Dihyah al-Kalbi et, par la suite, elle a appartenu à l’Apôtre d’Allah qui l’a épousée et son mahr était sa manumission. Abd al-Aziz a dit à Thabit : Ô Abu Thabit, est-ce toi qui a interrogé Anas sur sa dot ? Thabit a répondu qu’il lui a donné comme dot sa propre personne. Abd al-Aziz a souri.</i>}}{{Quote|{{bukhari|1|8|367}}|<i>Rapporté par Abdul Aziz : Anas a dit : Quand le Messager d’Allah (ﷺ) a envahi Khaybar, nous y avons fait la prière de fajr (tôt le matin) alors qu’il faisait encore nuit. Le Prophète (ﷺ) est monté à cheval ainsi qu’Abu Talha et je chevauchais derrière Abu Talha. Le Prophète (ﷺ) a traversé rapidement les ruelles de Khaybar et mon genou a touché la cuisse du Prophète (ﷺ). Il l’a découverte et j’ai vu la blancheur de celle-ci. Quand il est entré dans la ville, il a dit : Allah Akbar ! Khaybar est en ruine. Chaque fois que nous nous approchons d’une nation (hostile) (pour combattre), alors mauvais est le matin pour ceux qui ont été avertis. Il a répété cela trois fois. Les gens sont sortis pour vaquer à leurs occupations et certains d’entre eux ont dit : "Muhammad (est venu)", (certains de nos compagnons ont ajouté : "avec son armée"). Nous avons conquis Khaybar, fait des prisonniers, et le butin a été rassemblé. Dihya est venu et a dit : Ô Prophète d’Allah ! Donne-moi une esclave parmi les captives. Le Prophète a dit : Va et prends n’importe quelle esclave. Il a pris Safiya bint Houyay. Un homme est venu au Prophète (ﷺ) et a dit : "Ô Messager d’Allah (ﷺ) ! Tu as donné Safiya bint Houyay à Dihya alors qu’elle est la maîtresse en chef des tribus Qurayza et an-Nadir et qu’elle ne convient qu’à toi." Le Prophète (ﷺ) a alors dit : "faite-le venir avec elle." Dihya est donc venu avec elle et quand le Prophète (ﷺ) l’a vue, il a dit à Dihya : "Prends tout autre esclave parmi les captives sauf elle." Anas a ajouté : "Le Prophète (ﷺ) l’a ensuite affranchie et l’a épousée." Thabit a demandé à Anas : "Ô Abu Hamza ! Qu’est-ce que le Prophète (ﷺ) a payé (comme mahr) pour elle ?" Il a dit : "Elle-même était son mahr, car il l’a affranchie et épousée." Anas a ajouté : "En chemin, Umm Sulaym l’a habillée pour le mariage (cérémonie) et le soir, elle l’a envoyée comme épouse au Prophète (ﷺ). Le Prophète (ﷺ) était donc un époux et a dit : "Celui qui a quelque chose (nourriture) devrait l’apporter." Il a étendu une feuille de cuir (pour la nourriture) et certains ont apporté des dattes et d’autres du beurre de cuisson. (Je pense qu’il (Anas) a mentionné As-Sawaq). Ils ont alors préparé un plat de hays (un type de nourriture). Et c’était le walima (le banquet de mariage) du Messager d’Allah (ﷺ)."</i>}}{{Quote|{{bukhari|5|59|445}} et {{muslim|19|4374}}|<i>Rapporté par ibn Omar : Le jour d’Al-Ahzab (c.-à-d. les Coalisés), le Prophète (ﷺ) a dit : "Aucun d’entre vous ne devrait faire la prière de Asr, sauf chez les Banu Qurayza." La prière de Asr est devenue obligatoire pour certains d’entre eux en cours de route. Certains ont dit : "Nous ne prierons pas jusqu’à ce que nous atteignions le lieu des Banu Qurayza" alors que d’autres ont dit : "Non, nous prierons à cet endroit, car le Prophète (ﷺ) n’a pas voulu nous dire cela." Plus tard, cela a été mentionné au Prophète (ﷺ) et il n’a réprimandé aucun des deux groupes.<br>
}}{{Quote|{{bukhari|2|14|68}}|<i>Rapporté par Anas ibn Malik : Le Messager d’Allah (ﷺ) a fait la prière de fajr pendant qu’il faisait encore nuit, puis il est monté à cheval et a dit, "Allah Akbar ! Khaybar est en ruine. Lorsque nous nous approchons d’une nation, le plus malheureux est le matin de ceux qui ont été avertis." Les gens sont sortis dans les rues en disant : "Muhammad et son armée." Le Messager d’Allah (ﷺ) les a vaincus par la force et leurs guerriers ont été tués ; les enfants et les femmes ont été emmenés comme captifs. Safiya a été prise par Dihyah al-Kalbi et, par la suite, elle a appartenu à l’Apôtre d’Allah qui l’a épousée et son mahr était sa manumission. Abd al-Aziz a dit à Thabit : Ô Abu Thabit, est-ce toi qui a interrogé Anas sur sa dot ? Thabit a répondu qu’il lui a donné comme dot sa propre personne. Abd al-Aziz a souri.</i>}}{{Quote|{{bukhari|1|8|367}}|<i>Rapporté par Abdul Aziz : Anas a dit : Quand le Messager d’Allah (ﷺ) a envahi Khaybar, nous y avons fait la prière de fajr (tôt le matin) alors qu’il faisait encore nuit. Le Prophète (ﷺ) est monté à cheval ainsi qu’Abu Talha et je chevauchais derrière Abu Talha. Le Prophète (ﷺ) a traversé rapidement les ruelles de Khaybar et mon genou a touché la cuisse du Prophète (ﷺ). Il l’a découverte et j’ai vu la blancheur de celle-ci. Quand il est entré dans la ville, il a dit : Allah Akbar ! Khaybar est en ruine. Chaque fois que nous nous approchons d’une nation (hostile) (pour combattre), alors mauvais est le matin pour ceux qui ont été avertis. Il a répété cela trois fois. Les gens sont sortis pour vaquer à leurs occupations et certains d’entre eux ont dit : "Muhammad (est venu)", (certains de nos compagnons ont ajouté : "avec son armée"). Nous avons conquis Khaybar, fait des prisonniers, et le butin a été rassemblé. Dihya est venu et a dit : Ô Prophète d’Allah ! Donne-moi une esclave parmi les captives. Le Prophète a dit : Va et prends n’importe quelle esclave. Il a pris Safiya bint Houyay. Un homme est venu au Prophète (ﷺ) et a dit : "Ô Messager d’Allah (ﷺ) ! Tu as donné Safiya bint Houyay à Dihya alors qu’elle est la maîtresse en chef des tribus Qurayza et an-Nadir et qu’elle ne convient qu’à toi." Le Prophète (ﷺ) a alors dit : "faite-le venir avec elle." Dihya est donc venu avec elle et quand le Prophète (ﷺ) l’a vue, il a dit à Dihya : "Prends tout autre esclave parmi les captives sauf elle." Anas a ajouté : "Le Prophète (ﷺ) l’a ensuite affranchie et l’a épousée." Thabit a demandé à Anas : "Ô Abu Hamza ! Qu’est-ce que le Prophète (ﷺ) a payé (comme mahr) pour elle ?" Il a dit : "Elle-même était son mahr, car il l’a affranchie et épousée." Anas a ajouté : "En chemin, Umm Sulaym l’a habillée pour le mariage (cérémonie) et le soir, elle l’a envoyée comme épouse au Prophète (ﷺ). Le Prophète (ﷺ) était donc un époux et a dit : "Celui qui a quelque chose (nourriture) devrait l’apporter." Il a étendu une feuille de cuir (pour la nourriture) et certains ont apporté des dattes et d’autres du beurre de cuisson. (Je pense qu’il (Anas) a mentionné As-Sawaq). Ils ont alors préparé un plat de hays (un type de nourriture). Et c’était le walima (le banquet de mariage) du Messager d’Allah (ﷺ)."</i>}}{{Quote|{{bukhari|5|59|445}} et {{muslim|19|4374}}|<i>Rapporté par ibn Omar : Le jour d’Al-Ahzab (c.-à-d. les Coalisés), le Prophète (ﷺ) a dit : "Aucun d’entre vous ne devrait faire la prière de Asr, sauf chez les Banu Qurayza." La prière de Asr est devenue obligatoire pour certains d’entre eux en cours de route. Certains ont dit : "Nous ne prierons pas jusqu’à ce que nous atteignions le lieu des Banu Qurayza" alors que d’autres ont dit : "Non, nous prierons à cet endroit, car le Prophète (ﷺ) n’a pas voulu nous dire cela." Plus tard, cela a été mentionné au Prophète (ﷺ) et il n’a réprimandé aucun des deux groupes.<br>
<br>Il a été rapporté sur l’autorité d’Abdullah qui a dit : "Le jour où il est revenu de la bataille d’Ahzab, le Messager d’Allah (ﷺ) nous a annoncé que personne ne dirait sa prière de Zuhr sauf dans les quartiers des Banu Qurayza. Certains, qui craignaient que le temps de la prière expire, ont récité leur prière avant d’atteindre la rue des Banu Qurayza. Les autres ont dit : Nous ne ferons notre prière que là où le Messager d’Allah (ﷺ) nous a ordonné de la faire même si le temps a expiré. Quand il a appris la différence de point de vue des deux groupes, le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) n’a blâmé aucun d’entre eux."</i>}}{{Quote|{{bukhari|4|52|280}}, See Also: {{bukhari|5|58|148}}, {{Bukhari|8|74|278}}, {{muslim|19|4368}}, {{muslim|19|4369}}|Narrated Abu-Sa'id al-Khudri: When the tribe of Banu Qurayza was ready to accept Sad's judgment, Allah's Apostle sent for Sad who was near to him. Sad came, riding a donkey and when he came near, Allah's Apostle said (to the Ansar), "Stand up for your leader." Then Sad came and sat beside Allah's Apostle who said to him. "These people are ready to accept your judgment." Sad said, "I give the judgment that their warriors should be killed and their children and women should be taken as prisoners." The Prophet then remarked, "O Sad! You have judged amongst them with (or similar to) the judgment of the King Allah." }}{{Quote|{{bukhari|5|59|362}}, See Also: {{muslim|19|4364}}|Narrated Abd-Allah ibn Umar: Banu Nadir and Banu Qurayza fought (against the Prophet violating their peace treaty), so the Prophet exiled Bani An-Nadir and allowed Bani Quraiza to remain at their places (in Medina) taking nothing from them till they fought against the Prophet again). He then killed their men and distributed their women, children and property among the Muslims, but some of them came to the Prophet and he granted them safety, and they embraced Islam. He exiled all the Jews from Medina. They were the Jews of Banu Qaynuqa, the tribe of Abdullah bin Salam and the Jews of Bani Haritha and all the other Jews of Medina. }}{{Quote|{{Abudawud|14|2665}}|Narrated Aisha: No woman of Banu Qurayza was killed except one. She was with me, talking and laughing on her back and belly (extremely), while the Apostle of Allah (peace be upon him) was killing her people with the swords. Suddenly a man called her name: Where is so-and-so? She said: I I asked: What is the matter with you? She said: I did a new act. She said: The man took her and beheaded her. She said: I will not forget that she was laughing extremely although she knew that she would be killed. }}{{Quote|{{Abudawud|38|4390}}|Narrated Atiyyah al-Qurazi: I was among the captives of Banu Qurayza. They (the Companions) examined us, and those who had begun to grow hair (pubes) were killed, and those who had not were not killed. I was among those who had not grown hair. }}{{Quote|{{Ibn Majah|20|3|20|2541}}|It was narrated that 'Abdul-Malik bin`Umair said: “I heard 'Atiyyah Al-Quazi say: 'We were presented to the Messenger of Allah on the Day of Quraizah. Those whose public hair had grown were killed, and those whose public hair had not yet grown were let go. I was one of those whose pubic hair had not yet grown, so I was let go.” (Sahih)}}{{Quote|{{citation|title=The History of al-Tabari|trans_title=Ta’rikh al-rusul wa’l-muluk|volume=vol. VIII|ISBN=0-7914-3149-5|Year=1997|publisher=SUNY Press|author=al-Tabari (d. 923)|editor=Michael Fishbein|url=https://archive.org/details/HistoryAlTabari40Vol/History_Al-Tabari_10_Vol/page/n2028/mode/2up|page=39}}
<br>Il a été rapporté sur l’autorité d’Abdullah qui a dit : "Le jour où il est revenu de la bataille d’Ahzab, le Messager d’Allah (ﷺ) nous a annoncé que personne ne dirait sa prière de Zuhr sauf dans les quartiers des Banu Qurayza. Certains, qui craignaient que le temps de la prière expire, ont récité leur prière avant d’atteindre la rue des Banu Qurayza. Les autres ont dit : Nous ne ferons notre prière que là où le Messager d’Allah (ﷺ) nous a ordonné de la faire même si le temps a expiré. Quand il a appris la différence de point de vue des deux groupes, le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) n’a blâmé aucun d’entre eux."</i>}}{{Quote|{{bukhari|4|52|280}}, {{bukhari|5|58|148}}, {{Bukhari|8|74|278}}, {{muslim|19|4368}}, et {{muslim|19|4369}}|Rapporté par Abu Saʿid al-Khudri : "Lorsque la tribu des Banu Qurayza était prête à accepter le jugement de Sa’d, le Messager d’Allah (ﷺ) le fit appeler alors que celui-ci était tout proche. Sa’d est arrivé, monté sur un âne et quand il s’est approché, le Messager d’Allah (ﷺ) a dit (aux Ansars) : Levez-vous pour votre chef. Puis Sa’d vint et s’assit à côté du Messager d’Allah (ﷺ) qui lui a dit : Ces gens sont prêts à accepter ton jugement. Sa’d répondit : Je prononce comme jugement que leurs guerriers doivent être tués et que leurs enfants et leurs femmes doivent être faits prisonniers. Le Prophète (ﷺ) fit alors cette remarque : "Ô Sa’d ! Tu as jugé parmi eux avec (ou de manière similaire) le jugement du Roi Allah."
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Rapporté par Abu Saʿid al-Khudri : "Certaines personnes (c.-à-d. les Juifs des Banu Qurayza) ont décidé d’accepter le verdict de Sa'd ibn Mu'adh alors le Prophète fit qu’on aille le chercher (ﷺ)  (c.-à-d. Sa'd ibn Mu'adh). Il est venu monté sur un âne, et quand il s’est approché de la mosquée, le Prophète (ﷺ) a dit : Levez-vous pour le meilleur parmi vous, ou a dit, levez-vous pour votre chef. Puis le Prophète () a dit : "Ô Sa’d ! Ces gens ont accepté de recevoir ton verdict. Sa’d a dit : Je juge que leurs guerriers doivent être tués et que leurs enfants et leurs femmes doivent être pris comme captifs. Le Prophète a dit : Tu as rendu un jugement similaire au Jugement d’Allah (ou le jugement du Roi)."
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Rapporté par Abu Saʿid : "Les gens de (la tribu des) Qurayza ont décidé d’accepter le verdict de Sa’d. Le Prophète (ﷺ) le fit appeler et il est venu. Le Prophète (ﷺ) a dit (à ces gens) : Levez-vous pour votre chef ou le meilleur parmi vous ! Sa’d était assis à côté du Prophète (ﷺ) et le Prophète (ﷺ) lui a dit : Ces gens ont accepté ton verdict. Sa’d a répondu : Je donne donc mon jugement que leurs guerriers soient tués et leurs femmes et leurs enfants soient emmenés en captivité. Le Prophète (ﷺ) a dit : Tu as jugé selon le jugement du Roi (Allah). Abu Abdullah a dit : Certains de mes compagnons m'ont rapporté d'Abu al-Walid, ce qu’Abu Sa'd a dit jusqu'à parvenir à ton jugement."
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Il a été rapporté sur l’autorité d’Abu Saʿid al-Khudri qui a dit : "Les gens des Qurayza se sont rendus en acceptant la décision de Sa'd ibn Mu'adh à leur sujet. En conséquence, le Messager d’Allah (ﷺ) a envoyé chercher Sa’d qui est venu à lui sur un âne. Quand il s’approcha de la mosquée, le Messager d’Allah (ﷺ) dit aux Ansars : Levez-vous pour recevoir votre chef de clan. Puis il a dit (à Sa’d) : Ces gens se sont rendus en acceptant ta décision. Il (Sa’d) a dit : Vous tuerez leurs combattants et capturerez leurs femmes et leurs enfants. (En entendant cela), le Prophète (que la paix soit sur lui) dit : Tu as jugé par le commandement de Dieu. Le narrateur aurait dit : Peut-être qu’il a dit : Tu as jugé par la décision d’un roi. Ibn Muthanna (dans sa version de la tradition) n’a pas mentionné les mots alternatifs."<br></br>Par la même chaîne de transmetteurs, Shu’ba a raconté la même tradition dans laquelle il dit que le Messager d’Allah (ﷺ) a dit (à Sa’d) : Tu as jugé selon le commandement de Dieu. Et une fois il a dit : Tu as jugé par le jugement d’un roi.}}{{Quote|{{bukhari|5|59|362}}, See Also: {{muslim|19|4364}}|Narrated Abd-Allah ibn Umar: Banu Nadir and Banu Qurayza fought (against the Prophet violating their peace treaty), so the Prophet exiled Bani An-Nadir and allowed Bani Quraiza to remain at their places (in Medina) taking nothing from them till they fought against the Prophet again). He then killed their men and distributed their women, children and property among the Muslims, but some of them came to the Prophet and he granted them safety, and they embraced Islam. He exiled all the Jews from Medina. They were the Jews of Banu Qaynuqa, the tribe of Abdullah bin Salam and the Jews of Bani Haritha and all the other Jews of Medina. }}{{Quote|{{Abudawud|14|2665}}|Narrated Aisha: No woman of Banu Qurayza was killed except one. She was with me, talking and laughing on her back and belly (extremely), while the Apostle of Allah (peace be upon him) was killing her people with the swords. Suddenly a man called her name: Where is so-and-so? She said: I I asked: What is the matter with you? She said: I did a new act. She said: The man took her and beheaded her. She said: I will not forget that she was laughing extremely although she knew that she would be killed. }}{{Quote|{{Abudawud|38|4390}}|Narrated Atiyyah al-Qurazi: I was among the captives of Banu Qurayza. They (the Companions) examined us, and those who had begun to grow hair (pubes) were killed, and those who had not were not killed. I was among those who had not grown hair. }}{{Quote|{{Ibn Majah|20|3|20|2541}}|It was narrated that 'Abdul-Malik bin`Umair said: “I heard 'Atiyyah Al-Quazi say: 'We were presented to the Messenger of Allah on the Day of Quraizah. Those whose public hair had grown were killed, and those whose public hair had not yet grown were let go. I was one of those whose pubic hair had not yet grown, so I was let go.” (Sahih)}}{{Quote|{{citation|title=The History of al-Tabari|trans_title=Ta’rikh al-rusul wa’l-muluk|volume=vol. VIII|ISBN=0-7914-3149-5|Year=1997|publisher=SUNY Press|author=al-Tabari (d. 923)|editor=Michael Fishbein|url=https://archive.org/details/HistoryAlTabari40Vol/History_Al-Tabari_10_Vol/page/n2028/mode/2up|page=39}}
<BR>{{citation|title=تاريخ الرسل والملوك|author=أبو جعفر الطبري|url=https://app.turath.io/book/9783|publisher=al-Maktabah al-Shamilah|volume=vol. 2|page=588}}<br>See Also Ishaq:464|According to Ibn Ishaq: Then they were made to come down, and the Messenger of God imprisoned them in the dwelling of al-Harith's daughter, a woman of the Banu al-Najjar.155 The Messenger of God went out into the marketplace of Medina (it is still its marketplace today) and had trenches dug in it; then he sent for them and had them beheaded in those trenches. They were brought out to him in groups. Among them were the enemy of God, Huyayy b. Akhtab, and Ka'b b. Asad. the head of the tribe. They numbered 600 or 700-the largest estimate says they were between 800 and 900. As they were being taken in groups to the Messenger of God, they said to Ka'b b. Asad, "Ka'b, what do you think will be done to us? " Ka'b said: "On each. occasion you do not understand. Do you not see that the summoner does not discharge [anyone] and that those of you who are taken away do not come back? By God, it is death!" The affair continued until the Messenger of God had finished with them.}}{{Quote|{{citation|title=The Life of Muhammad|trans_title=Sirat Rasul Allah|ISBN=0-19-636033-1|year=1955|publisher=Oxford UP|author1=Ibn Ishaq (d. 768)|author2=Ibn Hisham (d. 833)|editor=A. Guillaume|url=https://archive.org/details/GuillaumeATheLifeOfMuhammad/page/n1/mode/2up|page=466}}<BR>{{citation|title=سيرة ابن هشام ت السقا|author1=ابن إسحاق|author2=ابن هشام|url=https://app.turath.io/book/23833|publisher=al-Maktabah al-Shamilah|volume=vol. 2|page=244}}
<BR>{{citation|title=تاريخ الرسل والملوك|author=أبو جعفر الطبري|url=https://app.turath.io/book/9783|publisher=al-Maktabah al-Shamilah|volume=vol. 2|page=588}}<br>See Also Ishaq:464|According to Ibn Ishaq: Then they were made to come down, and the Messenger of God imprisoned them in the dwelling of al-Harith's daughter, a woman of the Banu al-Najjar.155 The Messenger of God went out into the marketplace of Medina (it is still its marketplace today) and had trenches dug in it; then he sent for them and had them beheaded in those trenches. They were brought out to him in groups. Among them were the enemy of God, Huyayy b. Akhtab, and Ka'b b. Asad. the head of the tribe. They numbered 600 or 700-the largest estimate says they were between 800 and 900. As they were being taken in groups to the Messenger of God, they said to Ka'b b. Asad, "Ka'b, what do you think will be done to us? " Ka'b said: "On each. occasion you do not understand. Do you not see that the summoner does not discharge [anyone] and that those of you who are taken away do not come back? By God, it is death!" The affair continued until the Messenger of God had finished with them.}}{{Quote|{{citation|title=The Life of Muhammad|trans_title=Sirat Rasul Allah|ISBN=0-19-636033-1|year=1955|publisher=Oxford UP|author1=Ibn Ishaq (d. 768)|author2=Ibn Hisham (d. 833)|editor=A. Guillaume|url=https://archive.org/details/GuillaumeATheLifeOfMuhammad/page/n1/mode/2up|page=466}}<BR>{{citation|title=سيرة ابن هشام ت السقا|author1=ابن إسحاق|author2=ابن هشام|url=https://app.turath.io/book/23833|publisher=al-Maktabah al-Shamilah|volume=vol. 2|page=244}}
|Then the apostle divided the property, wives, and children of B. Qurayza among the Muslims, and he made known on that day the shares of horse
|Then the apostle divided the property, wives, and children of B. Qurayza among the Muslims, and he made known on that day the shares of horse
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