Coran, hadith et savants : Le coit interompu 'azl

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Al-'Azl, (العزل) également connu sous le nom de coït interrompu, est la pratique d’avoir des rapports sexuels avec une femme, mais de retirer le pénis avant l’éjaculation. Al-'Azl avec des captives et des esclaves ainsi qu’avec des épouses était un sujet important pour les premières générations de musulmans, comme en témoigne l’abondance de hadiths sur le sujet.

Hadith

Une pratique du vivant de Muhammad

Rapporté par Jabir : Nous avions l'habitude de pratiquer le coït interrompu du vivant de l'Apôtre d'Allah.
Rapporté par Jabir : Nous avions l'habitude de pratiquer le coït interrompu pendant que le Coran était révélé. Jabir a ajouté : Nous avions l'habitude de pratiquer le coït interrompu du vivant de l'Apôtre d'Allah pendant que le Coran était révélé.
Il a été rapporté que Jabir a dit : "Nous avions l'habitude de pratiquer le coït interrompu à l'époque du Messager d'Allah lorsque le Coran était révélé." (Sahih)

Il est préférable de ne pas se retirer à la fin d’une relation sexuelle avec une captive

Abu Said Al-Khudri a rapporté que pendant qu’il était assis avec l’apôtre d’Allah, il a dit : "Ô Apôtre d’Allah ! Nous avons des femmes captives comme part du butin, et nous sommes intéressés par leurs prix, quelle est ton opinion sur le coït interrompu ?" Le Prophète a dit : "Faites-vous vraiment cela ? Il vaut mieux que vous ne le fassiez pas. Si une âme est destinée à exister, alors celle-ci viendra assurément à l’existence par la permission Allah."
Rapporté par Ibn Muhairiz : J'ai vu Abu Said et je lui ai posé des questions sur le coït interrompu. Abu Said a dit : "Nous sommes allés avec l'Apôtre d'Allah faire une ghazwa (razzia) chez les Bani Al-Mustaliq et nous avons pris certaines des Arabes comme captives, et la longue séparation d'avec nos femmes nous pressait fortement et nous voulions pratiquer le coït interrompu. Nous avons demandé au Messager d'Allah (ﷺ) (si c'était permis)." Il a dit : "Il vaut mieux que vous ne le fassiez pas. Si une âme, par la permission d’Allah, est destinée à exister, alors jusqu’au Jour de la Résurrection celle-ci viendra certainement à l’existence."
Rapporté par Ibn Muhairiz : Je suis entré dans la mosquée et j’ai vu Abu Said Al-Khudri et je me suis assis à côté de lui et je l’ai questionné sur Al-Azl (c.-à-d. le coït interrompu). Abu Said a dit : "Nous sommes sortis avec le Messager d'Allah (ﷺ) pour une ghazwa chez les Bani Al-Mustaliq et nous avons reçu des captives parmi les captives Arabes et nous avons désiré des femmes car le célibat est devenu difficile pour nous et nous aimions faire le coït interrompu. Alors, lorsque nous avions l'intention de faire le coït interrompu, nous avons dit : « Comment pouvons-nous pratiquer le coït interrompu sans même demander au Messager d'Allah (ﷺ) qui est présent parmi nous ? » Nous (lui) avons demandé et il a dit : « C'est mieux pour vous de ne pas le faire, car si une âme (jusqu'au Jour de la Résurrection) est prédestinée à exister, alors celle-ci existera. »"
Rapporté par Abu Said al-Khudri : Au cours de la bataille avec les Bani Al-Mustaliq, ils (les Musulmans) ont capturé des femmes et avaient l’intention d’avoir des relations sexuelles avec elles sans les féconder. Alors ils ont interrogé le Prophète (ﷺ) au sujet du coït interrompu. Le Prophète (ﷺ) a dit : "Il vaut mieux que vous ne le fassiez pas, car Allah a écrit qu’Il continuera à créer jusqu'au Jour de la Résurrection." Qaza'a a dit : "J'ai entendu Abu Said dire que le Prophète (ﷺ) a dit : « Si une âme est ordonnée à être créée, alors Allah la créera. »"
Rapporté par Abu Said al-Khudri : Nous avions des captives comme butin de guerre et nous avions l’habitude de faire le coït interrompu avec elles. Nous avons donc interrogé le Messager d'Allah (ﷺ) à ce sujet et il a dit : "Faites-vous vraiment cela ?" en répétant la question à trois reprises. "Si une âme est destinée à exister alors celle-ci viendra à l'existence, jusqu'au Jour de la Résurrection."
Rapporté par Abu Said al-Khudri : Pendant qu’il était assis avec le Prophète (ﷺ) un homme parmi les Ansars est venu et a dit : "Ô Messager d’Allah (ﷺ) ! Nous avons des filles esclaves comme captives de guerre et nous aimons la propriété ; que penses-tu du coït interrompu ?" Le Messager d'Allah (ﷺ) a dit : "Faites-vous cela ? Il vaut mieux que vous ne le fassiez pas, car si Allah a ordonnée à une âme de venir à l'existence, alors celle-ci sera créée."
Abu Sirma a dit à Abu Said al Khudri (qu'Allah l'agréé) : Ô Abu Said, as-tu entendu le Messager d'Allah (ﷺ) mentionner Al-'Azl ? Il a dit : Oui, et a ajouté : Nous sommes sortis avec le Messager d'Allah (ﷺ) pour une expédition chez les Bani Al-Mustaliq et avons capturé d’excellentes femmes arabes ; et nous les avons désirées, car nous souffrions de l'absence de nos femmes, (mais en même temps) nous désirions une rançon pour elles. Nous avons donc décidé d'avoir des rapports sexuels avec elles mais en observant le 'azl (retrait du sexe masculin avant l’éjaculation afin d’éviter la conception). Mais nous avons dit : Nous faisons un acte alors que le Messager d’Allah est parmi nous ; Pourquoi ne pas lui demander ? Nous avons donc demandé au Messager d'Allah (ﷺ) et il a dit : Peu importe que vous le fassiez ou pas, car toute âme qui doit naître jusqu'au Jour de la Résurrection naîtra.
Yahya m'a rapporté de Malik, de Rabia ibn Abi Abd ar-Rahman, de Muhammad Ibn Yahya Ibn Habban qu'Ibn Muhayriz a dit : "Je suis entré dans la mosquée et j'ai vu Abu Said al-Khudri et je me suis assis à côté de lui et l’ai interrogé sur le coït interrompu". Abu Said al-Khudri a dit : "Nous sommes sortis avec le Messager d'Allah, qu'Allah le bénisse et lui accorde la paix, lors de l'expédition chez les Bani Al-Mustaliq. Nous avons fait prisonniers des Arabes, et nous avons désiré les femmes car le célibat était difficile pour nous. Nous voulions la rançon mais nous voulions aussi pratiquer le coït interrompu. Nous avons dit : « Allons-nous pratiquer le coït interrompu sans même demander au Messager d'Allah, qu'Allah le bénisse et lui accorde la paix, alors que celui-ci est parmi nous ? » Nous l’avons questionné à ce sujet et il a dit : « Vous n'êtes pas obligé de le faire. Il va de soi que si une âme doit venir à l'existence jusqu'au Jour de la Résurrection alors celle-ci viendra à l'existence. »"

Pratiquer le 'azl lors d'une relation sexuelle avec une esclave est accepté

Rapporté par Abu Said al-Khudri : Un homme a dit : "Messager d'Allah, j'ai une esclave et je retire mon pénis d’elle (lorsque j’ai des rapports sexuels), car je n'aime pas qu'elle tombe enceinte. J'entends (par des rapports sexuels) ce que les hommes entendent par ça. Les Juifs disent que retirer le pénis ('azl) c'est enterrer les filles vivantes à petite échelle." Il (le Prophète) a dit : "Les Juifs ont menti. Si Allah a l'intention de la créer, vous ne pouvez pas la détourner."
Jabir (qu'Allah l'agrée) a rapporté qu'un homme est venu voir le Messager d'Allah (ﷺ) et a dit : "J'ai une esclave qui est notre servante, elle nous porte de l'eau et j'ai des relations sexuelles avec elle, mais je ne veux pas qu'elle conçoive." Il a dit : "Pratique le 'azl si tu le souhaites, mais ce qui est décrété pour elle viendra à elle. La personne attendit (pendant un certain temps) puis revint en disant : "La fille est tombée enceinte". Après quoi il a dit : "Je t’ai dit que ce qui avait été décrété pour elle viendrait à elle."

Votre esclave est votre champ, alors arrosez-le ou laissez-le se dessécher si vous voulez

Yahya m'a raconté de Malik, de Damra ibn Said al-Mazini, d'al-Hajjaj ibn Amr ibn Ghaziya, qu'il était assis avec Zayd ibn Thabit quand Ibn Fahd est venu vers lui. Il venait du Yémen. Il a dit : "Abu Said ! J'ai des esclaves. Aucune des femmes de ma garde ne m’est plus agréable qu’elles, mais toutes ne me plaisent pas et je ne veux pas d’enfant d’elles, dois-je alors pratiquer le coït interrompu ?" Zayd ibn Thabit a dit : "Prononce-toi, Hajjaj !" J'ai dit : "Qu'Allah te pardonne ! Nous nous asseyons avec toi pour apprendre de toi !" Il a dit : "Prononce-toi !" J'ai dit : "Elle est ton champ, si tu veux, arrose-le, et si tu veux, laisse-le se dessécher. J'ai entendu cela de Zayd." Zayd a dit : "Il a dit la vérité."

Vous n'avez pas besoin de la permission de votre esclave pour pratiquer le 'azl avec elle

Yahya m'a raconté de Malik, d’Humayd ibn Qays al-Makki qu'un homme appelé Dhafif a dit qu'Ibn Abbas avait été interrogé au sujet du coït interrompu. Il a appelé une de ses esclaves et a dit : "Dis-leur." Elle était embarrassée. Il a dit : "C’est légitime, et je le fais moi-même." Malik a dit : "Un homme ne pratique pas le coït interrompu avec une femme libre à moins qu'elle ne lui donne la permission. Il n'y a aucun mal à pratiquer le coït interrompu avec une esclave sans sa permission. Quiconque a l'esclave de quelqu'un d'autre comme épouse n’a pas à pratiquer le coït interrompu avec elle à moins que ses proches ne lui en donnent la permission."

Divers

Sahih Muslim

Sa'd b. Abu Waqqas (qu'Allah soit satisfait de lui) a rapporté qu'une personne est venue voir le Messager d'Allah (ﷺ) et a dit : "Je fais le 'azl avec ma femme." Alors le Messager d'Allah (ﷺ) dit : "Pourquoi fais-tu cela ?" La personne a dit : "Je crains de nuire à son enfant ou ses enfants." Alors le Messager d'Allah (ﷺ) dit : "Si cela était nuisible, cela nuirait aux Perses et aux Grecs."
Abu Sa'id al-Khudri (qu'Allah soit satisfait de lui) a rapporté : Nous avons pris des femmes en captivité, et nous voulions faire le 'azl avec elles. Nous avons alors interrogé le Messager d'Allah (ﷺ) sur ce sujet, et il nous a dit : "En vérité vous le faites, en vérité vous le faites, en vérité vous le faites, mais l’âme qui doit naître jusqu’au Jour du Jugement doit naître."
Abu Sa'id al-Khudri (qu'Allah soit satisfait de lui) (on lui a demandé s'il l'avait lui-même entendu), à quoi il a répondu : "Oui." (J'ai entendu) l'Apôtre d'Allah (ﷺ) dire : "Il n'y a pas de mal si vous ne le pratiquez pas, car cela (la naissance d'un enfant) est quelque chose d'ordonné (par Allah)."
Abu Sa'id al-Khudri (qu'Allah soit satisfait de lui) a rapporté que l'Apôtre d'Allah (ﷺ) a été interrogé sur le 'azl, à quoi il a répondu : Il n’y a pas de mal si vous ne le faites pas, car cela (la naissance d’un enfant) est quelque chose d’ordonné. Muhammad (un des narrateurs) a dit : (Les mots) La 'alaykum (il n’y a pas de mal) implique sa prohibition.
Abu Sa'id al-Khudri (qu'Allah soit satisfait de lui) a rapporté qu'il a été fait mention du 'azl en présence de l'Apôtre d'Allah (ﷺ) à quoi il a répondu : "Pourquoi le pratiquez-vous ?" Ils ont dit : "Il y a un homme dont la femme doit allaiter l'enfant, et si cette personne a un rapport sexuel avec elle, il n’a pas envie qu’elle conçoive, et il y a une autre personne qui a une esclave et s’il a un rapport sexuel avec elle, il n’a pas envie qu'elle ait une conception pour qu'elle ne devienne pas Umm Walad." Sur quoi, il (le Saint Prophète) a dit : "Il n'y a pas de mal si vous ne le faites pas, car cela (la naissance d’un enfant) est quelque chose de prédéterminé." Ibn 'Aun a dit : "J'ai fait une mention de ce hadith à Hasan, et il a dit : « Par Allah, (on dirait) comme s'il y avait des reproches (pour le 'azl) »".
Abu Sa'id al-Khudri (qu'Allah soit satisfait de lui) a rapporté : Il a été fait mention d'al-'azl en présence du Messager d'Allah (ﷺ), à quoi il a répondu : "Pourquoi l'un d’entre vous le pratique-t-il ?" (Il n'a pas dit : "L'un d’entre vous ne devrait pas le faire"), car aucune âme ne peut être créée si le créateur n'est pas Allah.
Abu Sa'id al-Khudri (qu'Allah soit satisfait de lui) a rapporté que le Messager d'Allah (ﷺ) a été interrogé sur le 'azl, à quoi il a répondu : "L'enfant ne provient pas de tout le liquide (sperme) et lorsqu’Allah a l'intention de créer quelque chose rien ne peut l'empêcher (de venir à l'existence)".
Jabir b. 'Abdullah (qu'Allah soit satisfait de lui) a rapporté qu'une personne a sollicité l'Apôtre d'Allah (ﷺ) en disant : "J'ai une esclave et je pratique le 'azl avec elle". Le Messager d'Allah (ﷺ) a répondu : "Cela n’empêchera pas ce qu’Allah a décrété." La personne est alors revenue (après un certain temps) et a dit : "Messager d'Allah, l'esclave dont je t'ai parlé a conçu." Le Messager d'Allah (ﷺ) a dit : "Je suis le serviteur d'Allah et Son Messager."

Ibn Majah

Il a été rapporté qu'Abu Sa'id al-Khudri a dit : Un homme interrogea le Messager au sujet du coït interrompu. Il a dit : "Fais-tu cela ? Si tu ne le fais pas, il n’y a aucun mal à cela ; car si une âme que (le Glorifié et l’Exalté) a décrété qu'elle existe, alors celle-ci viendra à l'existence."

Al Muwatta

Yahya m’a raconté d’après Malik, d’après Abu-n-Nadr, le mawlâ d’Umar ibn Ubaydullah, d’après Amir ibn Sad ibn Abi Waqqas, d’après son père qu’il avait l’habitude de pratiquer le coït interrompu.
Yahya m’a raconté d’après Malik, d’après Abu-n-Nadr, le mawlâ d’Umar ibn Ubaydullah, d’après Ibn Aflah, le mawlâ d'Abu Ayyub al-Ansari, la umm walad d'Abu Ayyubal-Ansari qu'il a pratiqué le coït interrompu.
Yahya m’a raconté d’après Malik, d’après Nafi qu'Abdullah ibn Umar ne pratiquait pas le coït interrompu et pensait que cela était désapprouvé.
Yahya a dit que Malik a rapporté d'Ibn Shihab, d’après Salim ibn Abdullah ibn Umar, d’après son père qu'Umar ibn al-Khattab a dit : "Qu'en est-il des hommes qui ont des relations sexuelles avec leurs esclaves et qui ensuite les congédient ? Aucune esclave ne vient à moi sans que le maître ne confesse qu’il a eu des rapports sexuels avec elle, ainsi je relie son enfant à lui, qu'il ait pratiqué ou non le coït interrompu ou cessé d'avoir des rapports sexuels avec elle."
Malik m'a raconté d’après Nafi que Safiyya bint Abi Ubayd l'a informée qu'Umar ibn al-Khattab a dit : "Qu'en est-il des hommes qui ont des relations sexuelles avec leurs esclaves et ensuite les délaissent ? Aucune esclave ne vient à moi sans que le maître ne confesse qu’il a eu des rapports sexuels avec elle, ainsi je relie son enfant à lui, qu'il ait pratiqué ou non le coït interrompu ou cessé d'avoir des rapports sexuels avec elle." Yahya a dit qu'il avait entendu Malik dire : "Ce qui se fait dans notre communauté à propos d'une umm walad qui commet un crime, c'est que son maître soit responsable de ce qu'elle a fait à hauteur de sa valeur. Il n'a pas à la livrer, et on ne peut pas lui faire supporter plus que sa valeur pour son crime."

Savants

Les sahabah se sont engagés à pratiquer le 'azl afin que leurs esclaves ne tombent pas enceintes et puissent continuer à travailler et à donner du plaisir sexuel à leurs propriétaires.

En ce qui concerne le 'azl (coït interrompu), ou le fait de retirer son sexe pendant un rapport, l'opinion des savants est qu'il n'y a rien de mal à cela, en raison du hadith de Jabir (qu'Allah l'agrée) qui dit : "Nous avions l'habitude de pratiquer le coït interrompu à l’époque où le Coran était révélé." – c.-à-d. à l'époque du Prophète (paix et bénédictions d'Allah sur lui). Si cette action avait été interdite, le Prophète (paix et bénédictions d'Allah sur lui) l'aurait interdite. Mais les savants disent qu'il ne faut pas s'engager dans la pratique du 'azl avec une femme libre sauf avec sa permission, car elle a le droit d'avoir des enfants. De plus, se retirer sans sa permission diminue son plaisir, car le plaisir de la femme ne peut être accompli qu'après l'éjaculation. De ce fait, ne pas lui demander la permission lui fait perdre le plaisir et la possibilité d'avoir des enfants. Par conséquent, nous énonçons la condition que cela ne peut être fait qu'avec sa permission.

De Fataawa al-Shaykh Muhammad ibn 'Uthaymin.

De Fataawa Islamiyyah, vol. 3, p. 190.

Troisièmement : la raison pour laquelle les sahabah se sont engagés à pratiquer le 'azl était qu'ils ne voulaient pas que les femmes - en particulier les esclaves - tombent enceintes, afin qu'ils puissent continuer à jouir d’une relation physique avec elles et que les femmes puissent encore faire leur travail. Abu Dawud a rapporté qu'un homme a dit : "Ô Messager d'Allah, j'ai une esclave et je pratique le 'azl avec elle, car je ne veux pas qu'elle tombe enceinte, mais je veux ce que les hommes désirent. Mais les Juifs disent que le 'azl est en quelque sorte une forme d'infanticide." Il a dit : "Les Juifs mentent." Si Allah veut créer (un enfant), vous ne pouvez pas l'en empêcher. (Rapporté par Abu Dawud, Kitaab al-Nikaah, 1856 ; classé comme authentique par al-Albani dans Sahih Abu Dawud, 1903).

Voir également

  • Rape - Une page centrale qui mène à d'autres articles liés au viol